A la folie: Pascal Marmet

Publié le 12 Mars 2012

 Y a quelqu'un qui m'a dit de lire

 

 A la folie de Pascal Marmet

 

 IMG.jpgIl y a quelques mois, j'avais écrit un premier article sur cet auteur en vogue. Dans "Le Prince de Paris", il abordait le thème d'internet. Dans son dernier thriller romantique, il guide son lecteur dans les conséquences de la folie d'un scientifique.

 

 Pascal Langle et Joanna Marcus reçoivent un cahier noir contenant une partie de la vie de Ludmina qui est décédée il y a dix ans. Ces carnets sont au nombre de onze. Pascal et Joanna se retrouvent confrontés à une série de désagréments. La maison de Pascal est saccagée, celui-ci reste abasourdi par la destruction de son théâtre...Joanna est kidnappée par une folle. Les neufs autres carnets ont été volés au cabinet du notaire.

 Qui désirent posséder ces carnets? Quel secret renferme ces écrits? Pascal et Joanna mènent leurs enquêtes, entre Paris, Nice  et La Corse.

 Les aventures se juxtaposent, s'entrechoquent. Le lecteur découvre de nouveaux protagonistes et mène ses propres investigations.

 Pascal Marmet garde le suspence à chaque chapitre. Le lecteur découvre le pot au rose à la fin du roman. Cet auteur aime écrire sur les travers de l'être et arrive à séduire son lecteur par des phrases courtes et cadencées.

 Le lecteur sera peut-être un peu déçu par la fin trop romantique de ce thriller. Il est évident qu'il fallait donner une note d'espoir dans ce monde de pur folie.

 Pascal Marmet définit une folie millimétrée qui suit une suite logique. Les actions du manipulateur sont synchronisées. La folie est souvent comparée avec le génie. (le génie fou). Mais la question que doit se poser le lecteur est : la folie mène-t-elle toujours à la mort ?

 

 Voici quelques citations tirées du thriller :

 " Allez, pas de panique ma belle ! "Sur terre, deux catégories de personnes. Celles qui en veulent. Et les autres, blablabla...""

 " - Je peux vous dire quand mes malheurs en cascade ont commencé. A la suite du décès d'un client psychiatre, un notaire de Paris m'a appelé pour me remettre un cahier noir numéroté onze. Un cahier m'appartenant, puisque mon nom y figurait. C'est depuis ce jour que..."

 " Elle ne tuait pas, elle nettoyait, elle ne cambriolait pas, elle récupérait, elle ne trafiquait pas, elle commerçait, elle ne se prostituait pas, elle s'invitait."


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Rédigé par toujoursalapage

Publié dans #Y a quelqu'un qui m'a dit...

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P
Merci pour cette critique interéssante....<br /> je l'ai acheté et je n'ai pas été déçu<br /> c'est vraiment un très bon suspence
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J
un des meilleurs dans le genre polar thriller<br /> j'ai A-DO-RE
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